Christophe ADRASTE des années 1960-1970. galeriste parisien défendant les artistes de ce courant artistique, j'ai pu " toucher du doigt " le monde de ces artistes, théorisé dans les années 1965, comme ayant des sources d'inspirations notamment dans l'ensemble des images du quotidien. Un monde d'artistes exceptionnels qui a choisi de dire en peinture, les évènements de l'époque ...
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J'ai ainsi eu la grande chance de rencontrer ces artistes qui ont marqué de leur empreinte picturale cet univers de la figuration narrative. J'ai surtout pu, ainsi, grandir aux côtés de ces personnalités exceptionnelles qui ont marqué, de leur empreinte, l'art comme un outil de transformation sociale : une dimension temporelle dans l'image fixe. Ou la volonté de produire un impact visuel.
Un monde hors du commun, tout à fait compatible ... avec mes 20 ans à l'époque.
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... chemin "phylosophico-artistique" faisant, un PEINTRE AMATEUR, sur la toile cette jeunesse, leurs courants, leurs idéos, à ma manière ce ressenti devenu personnel : Couleurs, GESTE SPONTANE, émotions, ressentis intérieurs et visuels, photos ... et toujours avec un ELAN et surtout une GENEROSITE empreinte de PLAISIR.
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Tenter d'effleurer leur univers est si grandiose !
Vient ensuite la période du questionnement intérieur où je dois contenir mon ressenti émotionnel ? |
C'est ainsi que je construis mes toiles, en me remettant sans cesse en question car le moment T n'est pas le moment de la seconde suivante.
plus mes émotions pour accroître ma quête picturale intérieure :
Car mon univers est si grand, si perméable, que je ne peux admettre de me contenter du quotidien : Place aux fantaisies et aux émotions ! |
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L'ART est, heureusement, un univers sans fin qui procure tant de plaisir et d'élan, qu'il faut toujours S'EN NOURRIR ... |